Durant quelques instants le monde s’est évanoui. Le sable, les vagues, l’océan et l’infini de l’horizon , ont tout gommé. Nous étions presque nus disséminés sur la grande plage et j’ai ressenti cette impression étrange d’être revenu aux premiers jours.
Les miens, les votres les nôtres ceux du monde comme de l’univers. Une incroyable tranquillité, assourdissante.
Alors je me suis dit, tout est parfait comme ça dans l’été.
Pourquoi ne pas tout laisser derrière.
Ce monde et ses profits, son brouhaha permanent.
Revenir juste aux voix d’ici, aux voix toutes proches, à celle de la marée des mouettes et des enfants qui fabriquent des châteaux de sable.
Bonne question!
J’aimeAimé par 1 personne
On se fait poète ce matin. Le temps de respirer un peu, oui. Cela vous sied tout de même.
J’aimeAimé par 1 personne