Le frottement c’est la base de tout alors on l’évite évidemment. On rêve à des Everest. Et puis on redescend.
Je me souviens de cette obstination à vouloir briquer le sol de lino d’une chambre. Un acharnement. Un plaisir aux frontières du malsain lorsque la douleur siffle dans les ultrasons.
Frotter sur le vif à crû des couleurs du blanc pour apaiser quelque chose au dedans comme au dehors.
Une érosion naturelle dans laquelle on glisse apaisé tout à coup
Puis on plisse les yeux on traverse la surface on arrive au delà comme à un point de départ.
Question de point de vue. Les couleurs de la première photo, qui me semblent moins érodées, me semblent plus apaisantes…
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