Tu dis c’est fort ou c’est fragile sans connaitre. Tu le dis par reflexe, par habitude, poussé par les on-dit.
Tu devrais te taire.
Et vivre le silence fracassant qui suit à son début.
Qui brise toutes les murailles par sa fréquence assourdissante.
Et te laisse là éventré, ébloui, tout en même temps.
Enfin prêt à rebattre toutes les cartes et les redistribuer
La dernière étape est de repousser la pensée pour laisser le souffle aller.
Sans même y penser.

Whaoo ! Magnifique texte !
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Merci pour ce souffle. Oui, le silence. Fracassant et fertile.
Et cette toile, un feu christique si j’ose dire.
Je l’y vois malgré moi, les bras et les yeux vers le ciel.
L’imaginaire semé…
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