Plus insidieuses que tout ce que nous avons déjà subi, les nouvelles dictatures surgissent comme des boutons sur le front des ados attardés.
Regardez ceci est une belle personne et celui là une mauvaise.
Et puis il faut aimer, aimer en se mirant à tout bout de champs dans chaque reflet.
On y perd son bon sens, et c’est tout à fait voulu.
Comme si dans les jardins ne poussaient que des roses.
Comme si le jour ne venait pas de la nuit.
Mon Dieu si tu existes, qu’ils sont lassants à force tous ces poncifs.
Rejoue nous un Déluge, balance donc un cheveu dans la soupe, réveille nous par un séisme majeur…
Il faut être ceci ou cela et ne pas faire ainsi faites plutôt comme ça.
Des conseils comme des averses de mars en giboulées même en octobre, surement toute l’année.
Mémé disait les conseilleurs sont pas les payeurs, et c’est bel et bien toujours d’actualité.
Les bruits de bottes dans la tête, la peur que l’on attise comme un foyer, tout ça va encore certainement nous attirer des bricoles.
tout ça pourquoi au final ? pour tout reprendre depuis le début, recommencer à zéro comme il se doit
C’est toujours ainsi perpétuellement à la pendule des étoiles.
Et nous le nez dans la vase on pense
on pense qu’un jour tout ça va s’arranger dans l’ordre désiré.
sans savoir que l’ordre désiré est le plus haut niveau de ce mal qui aboie tout au fond de notre nuit
à la lune
A l’infini
Comme un petit être mal sevré.
