Ceux qui savent assomment et je ne voudrais pas devenir ainsi. Comme je ne veux pas tuer de mouches égorger des lapins.
Ils disent enfant tu ne sais rien.
Et je les ai cru souvent. Je leur ai donné raison devenant ainsi mon propre ennemi.
C’est à bout de souffle qu’on s’interroge sur celui-ci.
Quand l’air manque.
Ceux qui savent vous le diront.
Rejoins donc nos rangs qu’attends tu enfin
Et soudain je me souviens de tous les petits poissons sur le talus
Leurs soubresauts idiots dans l’assèchement de l’œil.
Tout me revient pour m’appauvrir.

Beau texte.
Et une photo qui m’emmène au rêve.
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