
Ma mère chantait cette chanson, probablement bien avant que je n’arrive au monde.
C’était un message subliminal.
Cochet ralenti tes chevaux.
Ce qui fait évidemment que le contraire se sera produit comme toujours.
Je les ai étrillés ces canassons en roulant à tombeau ouvert
Des fois je me dis que je suis mort et que je revois ma vie toute entière défiler noir sur blanc.
Du coup je prends peur
je tire comme un beau diable sur les rennes
mais les lanières me restent dans les mains,
Plus de chevaux,
pas de route,
pas de chariot
j’ai le cul dans le vide intergalactique et je parle tout seul.
je me souviens de ce noir et doré corbillard
en ce temps là les chevaux marchaient au pas
même le mort prenait son temps.
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Je crois que vous n’êtes pas tout seul à avoir le cul dans le vide intergalactique; l’image, en proportion, est impériale!
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😉
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