
Notule
Le risque de vouloir faire de jolies phrases, des phrases extra, percutantes, et qu’à la fin il n’y ait que ça du joli et percutant, comme une journée d’été où il ne se passe strictement rien sauf du soleil.
Comme vouloir faire un tableau qu’avec de l’habileté.
Des coups d’épée dans l’eau, tout à la surface, blessant la spontanéité des profondeurs.
Bon jour Patrick,
Je retiens : « … blessant la spontanéité des profondeurs… » (tournure poétique de belle tournure) 🙂
Bonne journée à toi 🙂
Max-Louis
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Même pas fait exprès Max-Louis , merci et bon dimanche aussi 😉
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Voilà qui est très vrai, ce qui est trop travaillé perd en naturel … ce n’est plus la vie
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L’éternelle dialectique entre fond et forme. Et comme dit l’autre: un éternuement est tout à fait naturel mais il reste à en faire une œuvre d’art capable d’émerveiller ou de révolter (ma définition de l’œuvre d’art …)
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La question n’est pas résolue … est-ce que le moule à gaufres fait partie de la nature, ou pas ? Et si tout est naturel, où donc se situe la dialectique sinon dans une sorte d’aveuglement, naturel si j’ose dire
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Et pourtant, oser. Savoir l’immensité sidérale qui sépare le vouloir du pouvoir. Et pourtant oser …
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Oui André merci, savoir et oublier, audace et folie, sidération et mouvement 😉
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Coups d’épée à la surface, de l’eau, de l’ego… Un textes, quelques phrases à peine mais si puissantes. Merci pour ce partage 🙂
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Merci Elisa
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