Chaque jour du fin fond du désert je me rends là
à l’oasis, et je retraverse les mirages exactement
toujours les mêmes,
invariablement.
ils deviennent évidents et nus, une fois tout le ridicule bu
Avalé, digéré et pissé.
Enfin j’arrive ainsi à l’oasis presque nouveau né.
Je lis de la poésie
Et ça me parle et ça m’achève
Oh comme ça me parle
et me tue et me redonne vie.
Grande dame de la chanson, oasis inoubliable de notre jeunesse, Barbara.
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Tout à fait ! Merci Mouscad et de plus cette chanson particulièrement me bouleverse toujours autant.
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Me redonne vie…surtout
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Les deux sont importants mais ça doit venir de mon petit côté phœnix 😉
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