Publié dans « Propos sur la peinture » (lien sur la page d’accueil du blog)
Il se peut que des relations intimes s’établissent, poussées inconsciemment ou pas au travers d’un contexte plus général que cette petite bulle dans laquelle je réside. Des relations intimes se tissent entre les notions de net et de flou dans la peinture et dans le dessin.
Une fatigue de la suggestion sera apparue progressivement cette année dans ma peinture et peu à peu cette fatigue se sera étendue à cette notion d’abstraction qui aura pendant longtemps mon « cheval de bataille ».
Cette fatigue est dûe probablement à un tiraillement très ancien logé au plus profond de ma personnalité et qui rejoint cette hésitation continue, ce manque de confiance maladif entre le net et le flou que j’aurais aimé parvenir à réunir ensemble, sans doute en vain.
La difficulté que j’entrevois aussitôt c’est d’avoir à choisir un camp. Et c’est exactement la même difficulté que j’éprouvais jadis lorsque je me posais la…
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« Alors dans ce cas il se pourrait bien qu’un trait net dépourvu d’hésitation en dise long sur celui qui choisit de dessiner ainsi. Dessiner de façon nette les choses est une forme d’engagement, une résistance face au flou qui peu à peu envahit le monde entier. »
Je me comprends mieux après ça.
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Ce n’est sûrement pas une parole d’évangile… mais si ça donne du grain à moudre c’est déjà bien 🙂 bonne journée Joël
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c’est bon de ne pas trancher dans la dualité, non?
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Des fois oui des fois non ça dépend de la réalité du duel, j’imagine
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