
Faut pas leur en vouloir d’avoir passé tout ce temps à vouloir nous éduquer, les parents font ce qu’ils peuvent. Parfois ils peuvent peu. Ou beaucoup mais pas dans le bon sens. C’est selon la main que l’on tire, aux cartes et qui nous caresse la joue ou nous broie.
Mais quand même quand je me souviens de ce ton melliflu
— Dis merci à la dame
— Et surtout n’oublie pas de remercier.
Les larmes me coulent sans que je ne puisse les refréner, sans fierté mal placée.
Les pauvres bougres.
Merci à vous de m’avoir fait tant douter des gratitudes que pour mieux les apprécier désormais.