
L’esclavage. On ne saurait dire à quel point il est toujours présent. Sous différentes formes souvent insidieuses.
Par exemple la bonne pensée serait de lire chaque jour tout ce que chacun des abonnés de ce blog publie.
Il y a des jours où je me demande si cette bonne pensée n’est pas un joug aussi serré finalement que les fers anciens auquel on attachait les boulets.
En parallèle bien sûr la mauvaise pensée, qui est cette rébellion permanente depuis l’enfance envers toute forme d’autorité.
1848 la date de l’abolition de l’esclavage … croit-on.
Entre les deux, cet espace, un aquarium où vit le poisson rouge. Le voici le voilà qui monte à la surface pour plaquer ses lèvres contre la membrane ténue du moment.
Peut-être bien que oui, peut-être bien que non.
Et puis l’envie furieuse et jouissive de dire merde à l’algorithme, associée à celle, séduisante, de repartir une fois encore
de zéro.
Eh bien continue à ne pas avoir de » bonnes pensées »…Les lectures profondément choisies apportent davantage de joie…
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