48. Notule 48

On peut aimer l’amour comme la poésie pour une idée que l’on s’en fait.

On peut tourner en rond ainsi, excentrique autour de son propre axe taré.

Mais même ce cycle là possède une fin comme un renouveau.

Inutile de vouloir s’échapper par volonté de la précession des équinoxes.

La bonne heure arrive lorsque la pendule s’évanouit.

2 réflexions sur “48. Notule 48

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