
Cette proximité de cœur ou d’âme, et pourquoi pas de peau. De peau serait plus sûr. Cette sensation qui naît à la lecture d’un poème qui fait mouche. L’espace s’en trouve agrandi comme le large et on peut entendre très précisément ce que murmure le monde et qu’on n’entend jamais. Parce que l’on dit c’est la mer, c’est un oiseau, parce qu’on a besoin de s’appuyer sur des rembardes durant les croisières.
Hourra! pour celles et ceux qui laissent passer au travers ce murmure et qui se désagrègent tout entier pour nous le restituer, intact.
Hourra… j’utilise ce mot pour exorciser quelque chose je crois. Je l’ai entendu dire récemment lors d’un défilé guerrier, et encore ailleurs après une chasse à courre, la mort d’un grand cerf. Mais ces hourra là salissent le vrai hourra.
Il n’y en a qu’un qui convienne c’est celui qui vient aussitôt aux lèvres à la lecture du poème.
Hourra
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🙂 bonne journée à toi Charef !
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smiley de connivence…
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