
Depuis quelques temps je lis de plus en plus de posts, d’articles, de billets dont leurs auteurs (triées) font part d’un état de dépression, de maladie, de confusion mentale aussi intempestif qu’incontrôlable.
J’ai d’abord pensé à un effet indésirable dû à toutes ces injections qu’on nous a fait subir au pas de charge ces derniers mois, puis à l’atmosphère mortifère produite par les américains sur l’Europe et qui a forcé la Russie à réagir violemment, et puis à ces élections législatives qui arrivent, à toutes ces foutues promesses qui pleuvent de tout cotés, et puis j’ai arrêté de penser.
J’ai levé le nez et j’ai vu de gros nuages blancs qui s’effilochaient sur fond de ciel bleu.
J’ai vu le vent agiter les feuilles de l’olivier, écouté aussi la porte de l’atelier qui grince, sans subir l’agacement habituel que ce couinement provoque généralement.
Je me suis soudain senti bien calme, présent dans ma cour à lire puis à écrire ce billet.
Cela fait quelques jours que je ne regarde plus trop les informations, ni à la télé,ni sur le net, nulle part.
Je sais qu’il se passe tout un tas de choses bien sur , mais je m’en fous. Je me concentre sur ce que j’ai à faire et quand je n’ai rien à faire je me concentre aussi sur ça,
ne rien faire proprement n’est pas si facile qu’on croit.
Je crois qu’on peut parvenir à s’échapper un temps de cette camisole numérique qui nous maintient dans une acidité de cornichon.
Pour un peu je tenterais bien de concocter une posologie spéciale anti déprime, avec comme ingrédient un peu de chaux, du salpêtre et du calcaire.
À lécher sucer avaler… je ne sais pas trop
Enfin pour rétablir un équilibre basique en tous les cas.
Atteindre la neutralité chimique ?
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ça va être difficile si on est vacciné je crois, mais on peut y arriver faut y croire 🙂
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