L’embarras du choix.

Il y a longtemps que je ne parle plus de langue étrangère à la mienne. Mais il est probable que j’aimerais, comme Tchekhov , tirer ma révérence avec un Ich Sterbe. Peut-être serait-il prévoyant d’établir une liste. Je meurs en plusieurs langues. Ainsi pourrais-je même, au dernier moment, éprouver une dernière fois, cette présence qui ne m’a jamais quitté, l’embarras du choix. Il doit en être- autorité de l’hésitation vaincue par amour de celle-ci-des plus anciens défauts comme des vrais amis, toujours prêts à blaguer, même dans les moments les plus critiques.

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