
Ça tourne autour du symbole, ça ne peut en être autrement. Sinon silence, on entre dans l’île des morts. Une part de soi le sait. L’autre feint de se boucher les yeux. L’aveuglement nécessaire pour peindre, on y revient encore par l’écriture. Et si toute l’actualité, cette accumulation d’horreurs de catastrophe n’était qu’un signe avant coureur de l’épuisement du symbole. Un cadre symbolique qui craque se délite, dernier sursaut de la chose avant sa disparition. Et comme ce bosquet de cyprès noirs, comme dans l’origine du monde la touffe noire, prémonition d’une dimension inédite. peut-être une transition une translation de symboles comme d’un tableau l’autre, pour mettre en valeur le mystère.