
Si tu as beaucoup lu autrefois tout ce sera évanouit. Tout ce désir de savoir, de posséder, d’exister, d’être autre que ce que tu es. Reste comme au fond d’un tamis quelques poussières encore. Tu clignes des yeux étonné les trouvant. Comment, toi Pavese. Alors que justement tu disais que jamais tu ne sombrerais dans cette faiblesse. Attribuer des yeux à la mort.
Et puis te revient une ou deux choses, tu disais pantomime ce never more.
Tu en riais même pour , bravache, croire échapper au mauvais œil, au mauvais sort
Et aujourd’hui. Pavese. La mort viendra et elle aura ses yeux. Accepte.