
J’aurais voulu te dire tout ce que tes poèmes déclenchent au plus profond. A condition que ce que je puisse en dire ne soit pas vain. Et ce ne sera pas la vanité qui me barrera encore cette fois le chemin, mais la beauté de ce silence qu’on ne saurait déranger, de peur qu’il s’évanouisse, pour replonger dans la stupeur d’une hébétude à caresser en égoïste. Le silence qui suit la poésie, l’emprunter pour revenir à ses sources, et puis pas plus aujourd’hui.
Comme il serait merveilleux que tout le monde puisse lire de cette façon…
J’aimeAimé par 2 personnes
Peut-être pas… l’étourderie doit avoir son utilité… je t’embrasse, beau dimanche Barbara
J’aimeAimé par 1 personne
Toi aussi
J’aimeAimé par 1 personne