
Un modèle désuet, l’homme inébranlable. Quel drôle de mot. surtout ne pas montrer que l’on est ébranlé, indique une solidité de façade, un mur inébranlable. Si tu chiales en plus on double la mise. Deux baffes pour le prix d’une. Mais que peut bien cacher un mur, qu’y a t’il au-delà. Du point de vue d’aujourd’hui un tremblement entre l’image et sa réalité. Peine à y croire vraiment. Est-ce à dire que le but serait d’ébranler l’inébranlable pour se rassurer, ça se pourrait. Que de temps perdu en ce cas
Ou bien hausser les épaules et faire comme si.
Esquiver le fou-rire, pleurer ensuite un bon coup dans son coin, vomir.
Puis repartir.
Inébranlable version 2.0