
Même mot pour le lieu du feu, de la flamme , de la maison et anciennement de la femme au. La femme étant chair, vie, mouvement pour sa plus grande part, l’idée qu’un foyer puisse la stabiliser qu’elle y recrée de l’axe de l’os. C’est à partir de là que la flamme s’épanouit dans l’imaginaire, qu’elle chauffe, cuit, rassure. Tandis qu’à l’extérieur elle se confond, se consume en incendies. Inspire en creux l’impuissance masculine à maîtriser le feu, son inaptitude non seulement à le faire et de savoir qu’en faire sinon faire feu sur ses semblables ou bien se donner bonne contenance devant un barbecue.