
L’ardeur comme une fièvre épuise. Exister par salves ardentes, intermittence des anéantissements. Et ensuite l’habitude la douce et cruelle. Y survivre. S’en prendre au temps, vouloir le ralentir comme l’accélérer, s’en faire un jouet, à qui l’on chuchote à l’oreille, avant de s’endormir, si on le peut vraiment, tous nos regrets, tous nos remords, nos doléances. Temps perdu. Perte utile cependant.
J’aime bien moi ces alternances ardeur-torpeur…
Et tes visages me plaisent énormément parce qu’ils disent tout cela, la folie et le cercle…
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Si j’étais poète… merci Barbara !
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Tu l’es.
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Ouille ouille ouille conséquences imprévisibles ! Sourire béat
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Poète, oui !
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Z’allez me flanquer du rouge au front ! Ça suffit !
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donne envie de relire l’Ada de Nobokov
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Oh oui lui il écrit bien !
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