
C’est facile de croire spontanément. Plus difficile ensuite. Ardu en fin de parcours. Dépasser l’ardu est-ce de l’obstination. Ou bien est-ce plus fort que soi. C’est effectuer une boucle, proche de celle effectuée avec la naïveté. Croire et rester naïf malgré tout. Parce qu’on ne peut plus faire autrement. Parce qu’on a touché l’os du front.