
A chaque fois le classement m’entraîne vers le vertige. Décider qu’une chose, quelle qu’elle soit, ne puisse être associée qu’à une catégorie, une seule, est du domaine de l’invraisemblable. C’est à dire à ma propre notion du semblable. Rien de monolithique. Sauf l’idée, envie ou récurrence, de classer pour justement se rapprocher du mot-d’ordre monolithe. En gros je ne fais pas de dessin. Mais ce serait une tour un obélisque une obsession verticale. Classer empiler des briques les unes sur les autres. L’idée d’immeuble proche phonétiquement d’immobile. peut-être bien un fâcheux contre-sens. Pilon et mortier ne changent pas. C’était ainsi avant ce sera la meme chose après. Se débattre dans l’erreur, poisson sur l’herbe, soubresauts.
et le chaos est aussi une forme de classement, ceux qui savent s’y retrouvent
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Pas sûr de vouloir être dans le camp de ceux qui savent, de moins en moins
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