
Les bonnes questions sont aussi rares que les bonnes idées. La plupart du temps on réinvente la roue maladroitement. On pioche dans l’air du temps. Sortir de la roue nécessite d’être soit un crétin congénital ou bien d’endurer mille souffrances. Du reste, les deux ne sont pas incompatibles. C’est la beauté ou le sordide de la chose. S’en remettre au Yi King, à un jeu de tarot pour les questions. Observer surtout les peurs qui aussitôt s’y associent tout comme les désirs. Tirer une carte, lancer une pièce six fois pour créer un hexagramme… revenir aux osselets. Ne pas quitter des yeux la peur et le désir.