
Ce qui m’agace m’apprend ce dont je ne veux pas, ce que je ne veux plus. Ce qui m’agace m’appartient encore, brille une dernière fois d’un éclat triste ou saugrenu avant de disparaitre dans le néant, dans le vide dans lequel je préfère résider. Ce qui m’agace me met en mouvement pour que je me satisfasse, jouisse de l’immobile. Et parfois le vide, l’immobile m’agacent aussi sans que je ne puisse trouver d’issue. Alors j’écris.