
Fascination pour cette cendre qui dévore peu à peu le papier blanc de la gitane, tenue entre deux doigts, aux phalanges velues. Main de ce grand-père d’une bienveillance inquiétante. À retrouver ce souvenir et après avoir lu un article sur Yves Klein sur le blog de Lisa une phrase semble réunir ces deux événements mes tableaux sont la cendre de mon art phrase que je trouve d’une justesse inouïe. La cendre de la cigarette se mêle au bleu des peintures de Klein, participent étonnamment en même temps à cette fonction du visible, d’ouvrir une porte vers l’invisible.
Très juste la phrase d’Yves KLein (je ne la connaissais pas)
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J’avoue que moi non plus mais elle a fait tilt… game over je ne sais pas. A voir sur le reste de la journée. Bonne journée Joël
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J’aime follement ta métaphore…
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Puissance des métaphores alors, et des cendres qu’elles représentent, merci Barbara bonne journée
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