Rare que dans les gares je paie un aller-retour. L’aspect effrayant du trop pratique. Et puis tellement bordélique je serais capable de perdre le billet. Pourtant l’aller-retour je ne connais que ça. Des voyages incessants animés par le fioul de l’espérance, des retours toujours en pilote automatique. Je paierai demain, je paierai quand il faudra revenir. Je serrerai le billet dans ma poche. En attendant entre l’abstrait et le figuratif, je continue de voyager. Comme s’il fallait que de trop de raison avalée je m’insurge, redevienne idiot ou sauvage, peigne — n’importe quoi. Parce que ce “n’importe quoi” est devenu le socle de ma raison.

Votre tableau est magnifique !!!! Très bon week-end 🙂
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Merci Louise un bon week-end également ( vous êtes devenue douée en smyley )
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😉 🙂 Faut dire que j’ai eu un bon maître !!!! Merci
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🙂
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apparitions multiples et changeantes dans ce n’importe quoi, comme écouter le lac et la forêt des contes
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Merci Jacques
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Oui, un beau tableau !
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Tiens, on se rejoint sur ce point. Un dédain pour les billets de retour dont on repousse l’achat au max, sauf pour l’avion dont le commerce est intransigeant.
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