
Les mots, la langue, ne sont qu’emprunts. Tu t’en souviens comme on s’éveille d’un rêve. Tu voudrais écrire cette sensation étrange de se retrouver comme un étranger face à tous ces mots, cette langue. Peut-être voudrais tu rendre tout simplement ce que tu as emprunté. Dire je suis vraiment désolé. Je ne savais pas que tout cela ne m’appartenait pas. Et te voici à nouveau à te demander si le silence t’appartient ou non. Te voici tout à coup si vieux et circonspect.
Très juste ! J’appliquerais bien cette pensée à mon travail d’amateur en écriture, en écrivant un poème sur ce sujet… l’œuvre picturale a une luminosité (et une texture) de vitrail, le rouge en particulier, très belle !
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en fait je crois qu’on fait tous ce qu’on peut, du mieux qu’on peut Frédéric, et merci pour le commentaire !
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