
Souvent, l’élan vers l’autre s’arrête net quand surgit la parole. La sienne la tienne. Autrefois la solution que tu avais trouvée, précaire mais à défaut servant de possible. Baiser plutôt que parler. Rares furent les rires mais il y en eut. Puis des sourires aussi. Mais pas de nostalgie pour autant, ni de remords ni de regrets. Juste le souvenir d’un regard silencieux d’un sourire, celui de l’autre, le tien ?