
Presque 1000 km effectués sur deux jours pour décrocher deux expositions , content de rapatrier ces toiles à l’atelier comme à chaque fois, moins celles qui ont trouvé acquéreur, jamais beaucoup d’un coup fort heureusement. Une lente distillation ce qui permet aussi d’examiner l’alambic, de lui offrir aussi de petites révisions de fin de cycle en fin de cycle. Pour les prochaines expositions déjà de nouvelles séries plus colorées et j’imagine aller ainsi vers de plus en plus d’intensité pour accompagner la montée du mercure. Hot painting voire very hot. Mais pas vulgaire, jamais, juré craché.
un petit bout d’arc en ciel aperçu ce matin sur la route.
On se demande ce qu’elles ont, celles qu’on ramène, mais qu’est-ce qu’elles ont?
J’aimeAimé par 2 personnes
Mais de quoi parlez-vous avec celles que vous rapportez? Un retour n’est jamais anodin…
J’aimeAimé par 1 personne
tout doit être dans l’histoire du petit Poucet, des parents trop pauvres emmènent les enfants en forêt pour les perdre en priant Dieu qu’ils se débrouillent, un sème des miettes, un autre des cailloux pour retrouver son chemin.
J’aimeAimé par 1 personne
Jamais facile de peindre sur le ciel lui-même : pourtant quelques hurluberlus y arrivent et périodiquement : leurs expos sont hélas rapidement « décrochées » mais on sait qu’elles reviendront (toutes pimpantes)… 🙂
J’aimeAimé par 1 personne