Atelier d’écriture sur le voyage notes pour la consigne 10 en cours de rédaction

Comment on passe d’Albuquerque en Oregon à Bernard de Montréal est un mystère pour qui s’interroge sur le cheminement des idées, et à l’inverse sera parfaitement normal pour qui s’en fiche totalement.

« Bernard de Montréal associa cette source de savoir à une expérience survenue en 1969, à sa résidence d’Albuquerque, à l’âge de 30 ans. Suite à cette expérience, sa vie se transforme, l’auteur se voyant contraint d’abandonner les études en raison d’une mémoire désormais défaillante et d’un nouvel état d’esprit. Au fil du temps, des facultés psychiques s’éveilleront en lui. Il deviendra réceptif à un flux d’informations non sollicitées qu’il trouve difficile à maîtriser. » citation de la biographie de BDM trouvée sur son site officiel

Résumer en 4 lignes Bernard de Montréal serait un excellent exercice à proposer à Chat GPT

du coup hop :

Bernard de Montréal est un personnage controversé et mystérieux, dont l’identité réelle reste inconnue. Il prétendait être un maître spirituel et auteur de plusieurs ouvrages sur la spiritualité, la méditation et la guérison, publiés à partir des années 1980.

Bernard de Montréal a créé un mouvement spirituel appelé « l’Ordre de Melchisédech » qui aurait des liens avec des pratiques ésotériques et des théories du complot. Certaines personnes l’ont accusé d’être un gourou manipulateur et d’avoir exploité financièrement ses adeptes.

Il est décédé en 2002 et son identité n’a jamais été confirmée. Les informations sur sa vie personnelle sont donc très limitées et les avis sur sa légitimité en tant que guide spirituel sont très partagés.

Là -dessus j’ose mettre mon grain de sel

-Moi :je crois qu’il s’appelait en fait Bernard Boucher et qu’il est décédé d’un cancer en 2003

L’IA : Il est possible que le vrai nom de Bernard de Montréal était Bernard Boucher et qu’il soit décédé en 2003, comme vous l’avez mentionné. Toutefois, cette information reste sujette à débat et il n’y a pas de preuve définitive pour confirmer son identité réelle.

En raison de la nature controversée de ses enseignements et de son mouvement spirituel, certaines sources remettent également en question la véracité de son nom et de son décès. Par conséquent, il est important de prendre toutes les informations sur Bernard de Montréal avec prudence et de ne pas les considérer comme des faits avérés.

Donc il me reste à me documenter sur cet ordre mystérieux et le personnage de Melchisédech sachant déjà qu’il fut à la fois roi et prêtre ce qui ne se produit plus après l’Exode en raison de lois qui l’interdirent.

Enfin me reviennent des mots comme Agartha et Shambhala

toujours très spontanément

Agartha et Shambhala comme deux forces en présence, l’une incarnant le mal nécessaire cosmique , située à la fois dans un point central à de la Terre, mais aussi sur Pluton, sur la Lune et trois autres planètes en dehors du système solaire. Et dont le but est de créer toutes les péripéties utiles ou nécessaires pour que l’homme atteigne à un certain degré de civilisation et d’intelligence – a la seule fin d’ailleurs qu’il se dégoutte des deux au final et plonge nu dans Shambhala, le trou dans le temps, la Lumière et la non pensée évidemment.

J’ai eu envie d’aller voir l’Himalaya sur Google Earth mais pas si simple car la Google car doit éprouver quelques difficultés là-bas

Donc comme tout le monde je me suis contenté d’aller à Katmandou et de faire une photo dénuée de sens ou de rapport avec mon sujet.

Ensuite facile de passer du nouveau Mexique à Artaud au Mexique, à la rue Gante, au café de Paris, le soir même de l’assassinat de Lorca ce 19 aout 1936 par les franquistes. Artaud est là, a t’il atteint le même niveau de dissociation que Bernard de Montréal ? On ne le saura jamais vraiment et qui ferait ce rapprochement d’ailleurs ?

Je n’ai pas trouvé de café de Paris près du quotidien El Nacional qu’évoque JOANI HOCQUENGHEM dans son Artaud au Mexique, mais plus loin dans le quartier Gante là où la photographie sera prise.

Comment ensuite extraire 4 misérables petites lignes d’un tel voyage ? C’est ce que nous verrons, si on y voit quelque chose.

The dream, le rêve, le mythe

Arrivé presque aussitôt le Mexique quitté en Australie dans le Bush.

Artaud est resté à parler avec les montagnes dans la Sierra Tarahumara, Bernard de Montréal à causer dans des vidéos Youtube en gros même après son décès en 2003 de la même chose avec une voix forte calme posée, et là, entre les buissons d’épineux une femme marche péniblement dans le bush australien, elle effectue une recherche sur la notion de rêve chez les aborigènes. Si l’on regarde ces trois personnages, peu importe qu’ils aient vécu à des périodes différentes, qu’ils proviennent de cultures de pays différents, ce à quoi ils semblent s’intéresser c’est à un temps d’avant les colonisations, un temps qui se situe en amont du rationalisme.

J’ai cherché sur Google Earth le musée de Brawarinna en nouvelle-Galles du Sud, mais je suis tombé sur une bâtisse derrière des grilles

j’ai effectué aussi une recherche Google mais rien trouvé, on ne peut connaitre l’existence de ce musée qu’en allant sur Google Earth et en écrivant Brawarinna dans le formulaire de recherche.

Ce que ça dit au final en voyant cette photographie de musée sensée évoquer une histoire aborigène c’est que nous sommes entièrement plongés – Les colons Australiens aussi- dans un nouveau mythe, qu’on nomme une réalité. Nous sommes coupé du rêve parce que nous pensons qu’il ne s’agit que d’un rêve, qu’à coté existe un univers plus réel.

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