
des mots encore, nommer des états de l’être toujours changeant, mais si incomplets. L’ivresse parfois offre une lucidité extraordinaire alors que la lucidité de temps à autre abruti embrume. Prendre du recul avec les mots comme avec les tableaux pour peindre plus juste, écrire plus juste. On se fiche du laid et du beau, c’est simplement un petit ploc, une goutte d’eau qui tombe et que soudain on entend vraiment, ivre ou lucide comment le savoir ?