vivre écrire

se livrer au présent comme un colis jeté sur le seuil d’une porte. Subir quelques menues intempéries, parfois de pires, sans trop s’y opposer sauf par force d’inertie. Passer quatre hivers en un, s’asseoir ensuite quelque part, peu importe où et tenter de bourgeonner malgré le gel la chaleur la soif la faim, presque toujours en vain, puis mourir fleurir écrire.

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