Marées.

La premiere consiste en une pulsion de vouloir sortir du monde, sortir de l’ennui, sortir de soi. La seconde est le risque d’un gant retourné, tout vouloir pénétrer, remplir du vide de soi. Marées du temps individuel, marées du temps collectif.

Se tenir dans l’entre-deux, comme au spectacle, oblige à une forme de cruauté, dont l’essentiel peut se résumer dans le mot passivité, ou contemplation.

mais qui contemple… l’océan, la mer peuvent-ils se contempler ainsi seulement et ainsi n’être jamais que ce qu’ils sont ?

Une réflexion sur “Marées.

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