
par un mystère que je ne cherche pas à élucider les corrections que j’effectue dans l’éditeur ne sont pas prises en compte à la publication des textes. Donc les fautes deviennent indélébiles. On ne peut plus dissimuler l’inadvertance ou l’ignorance aux regards du lecteur. Et du coup je me demande pourquoi vouloir dissimuler. Certains puristes s’en soucieront plus que je ne m’en soucierai désormais. Ce sera leur souci, plus le mien. Après tout le véritable lecteur comme le véritable amoureux aime souvent plus les défauts que les qualités en l’autre ce qui le rassure aussi de n’être pas trop différent. Aussi vive l’écriture buissonnière, les tâches d’encres indélébiles, tout ce qu’on ne peut cacher pour vouloir donner de soi une image qui n’est qu’une image.
❤️❤️❤️ post-scriptum. J’adore le tableau, il est de toi ? En cas cas, indélébile !
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oui de moi 😉 merci Christine
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C’est très juste, et je crois que les défauts ne sont jamais que des qualités en attente, ou même en devenir, et les « erreurs » pareil… des réussites à venir – le tableau est un véritable jardin dont je pourrais dire chacun des coins et des recoins, et des essences… mais je fais maintenant taire le bavard que je suis, très beau en tous cas !
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merci Frédéric
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merci Evy
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J’aime les tâches d’encre.
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Ah oui, et le tableau aussi.
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