
les mains moignon d’aile au début
s’agitent en vain
tremblent et virevoltent
cherchent le vent la bise
qui ne vient
qu’au soir
au bout d’un nerf
qui se brise
c’est tendu au bout de la tige
du bras
que s’éloignent les gestes
les pétales des fleurs
des fleurs de pissenlit
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