
Moins c’est compréhensible mieux c’est. De toutes façons chacun ira de sa propre interprétation comme d’habitude. Et puis quelle fatigue, le sourire a creusé de telles rides… des pattes d’oies ou plutôt les empreintes d’un mammouth laineux dans un atelier rupestre de colifichets en coquillages.
Pour un peu je me flanquerais tout nu pour aller me frotter contre la toile et donner des coups de cul et d’autre… mais ce sera toujours un cri muet. On ne sait pas si ça chante hurle pleure ou crie.
Ça échappe au relief, à la cartographie, une ignorance totale de toute géographie.
Des années à vouloir comprendre jusqu’à ce que ça choisisse enfin de renoncer.
Ça ne s’explique pas voilà tout, c’est raide. Ça marche en parallèle sans jamais qu’on le croise. Et sitôt qu’on a une impression familière on peut être sur d’être à côté.
Mais ça se comprend qu’on puisse peindre avec du sang du vomis de la merde. Rien de plus personnel au bout du compte. Et ça ne relève vraiment pas le personnel c’est une certitude. Mais bon les domestiques ne sont plus ce qu’ils étaient non plus. Il faut faire avec ou sans, comme on peut surtout.
Et puis j’ai vu les dégâts très jeune, maître jacques au Musée du Louvre. Des cabinets bouchés en pagaille par des tampons hygiéniques et fortuitement de maquillage.
Et à côté de ça le Pierrot Gilles de Watteau stoïque, avec moi comme âne dans l’angle en bas à gauche.
Cet œil larmoyant mon Dieu !
Une longue vérification sans plus.
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