Il y aurait un endroit où le revers serait annoncé par un ensemble de fifres,de hautbois et de couverts dominicaux.
Le vin coulerait à flots dans des coupes adamantines, en l’honneur du Hérault,des pages et des gueux qui l’accompagnent.
Car le revers a tant de choses à dire qu’il se présente non glorieux mais un tantinet buté de prime abord.
C’est bien la l’unique raison de le fêter comme on cognerait sur une viande pour l’attendrir.
Ainsi, enivré par la louange et la douceur,se mettrait il à table.
Confiant de par l’attention que lui prêteraient les convives, il sortirait de sa poche le butin de sa quête. C’est bien connu que chaque revers se doit de nous montrer à son retour ce qu’il n’a pas atteint.
Tout le monde ouvrirait alors de grands yeux et évidemment le rien deviendrait pour chacun un quelque chose à sa mesure.
C’est là le génie de tout revers de nous apprendre le plan de table de l’Hôte qui nous convie à écrire ou lire ces quelques lignes.
Vous devez être connecté pour poster un commentaire.